POLITIQUE

Agression de Bosembe à Paris : le CSAC exige des autorités françaises des clarifications ; que les auteurs du chaos soient recherchés …! 

Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC), a dans un communiqué publié dimanche, condamné l’agression depuis Paris en France, de son président, Christian Bosembe qui s’y séjourne depuis la semaine dernière.

Dans le communiqué, le bureau  élargi du CSAC condamne avec la dernière énergie cette agression barbare, ignoble et indescriptible organisée et exécutée par ceux qui se disent combattants ou bataillon front populaire, qui utilisent les méthodes des terroristes, et qui pour la plupart vivent en situation irrégulière en France et dans d’autres pays de l’Europe occidentale.

« Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication qui a déjà porté plainte contre ce réseau violent, demande aux autorités françaises d’assurer plus de protection aux hauts responsables de la République qui séjournent en mission officielle dans ce territoire hospitalier, de rechercher activement, d’arrêter, de juger, et de sanctionner sévèrement, jusqu’au refoulement de ces professionnels du chaos qui ne sont pas à leur premier forfait »,s’explique cette institution dirigée par la personne agressée.

Signalons que Le Bureau élargi du CSAC remercie par ailleurs les membres du Gouvernement de la République, les organisations de la société civile, les défenseurs des droits de l’homme ainsi que la corporation des professionnels des médias qui ont ouvertement condamné cette agression barbare et qui ont témoigné de leur solidarité à l’endroit du Président C. Bosembe.

Le 01 avril dans une vidéo répandue comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, Christian Bosembe s’était vu entourer par les personnes non autrement identifiées près de Paris à l’hôtel où il était logé. Agressé dans la foulée, le numéro un du CSAC qui a risqué sa vie était sorti de l’eau grâce aux sirènes de la police qui était intervenue, selon la RFI sur qui, le principal intéressé a raconté son agression affirmant que les agresseurs étaient déjà “ connus ”.

Autrement, les autorités Congolaises allaient saisir celles de la France, selon le porte-parole du gouvernement de la RDC, Patrick Muyaya dans son compte Twitter , en vue d’apporter une lumière.

MICHÉE EFOYA

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