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RDC : les activistes de droits humains et pro-démocratie dénoncent la dérive dictatoriale du régime de Tshisekedi

Dans une déclaration conjointe de ce mardi, les activistes de droits humains et pro-démocratie dénoncent la dérive dictatoriale du régime en place en République démocratique du Congo, ayant dans la tête : Félix Tshisekedi, président actuel de la République.

Ces activistes déplorent le fait qu’ils ont constaté un “engrenage” des violations de droits humains des certains acteurs politiques et sociaux qui est une preuve d’un recule Démocratique.

Après observation des faits Considérant ce qui suit : l’enlèvement du Conseiller spécial de Mr Moïse katumbi Shapwe candidat à la Prochaine présidentielle de 2023, c’est fait est sans doute un entrave à la Démocratie et à l’Etat de Droit ”, disent-ils dans leur déclaration parvenue à la rédaction de NEWS.CD.

Et de poursuivre :

Nous constatons depuis un certain temps l’acharnement dont les opposants sont victimes, encore récemment Le candidat président Moïse katumbi empêchait d’accéder au Congo central en toute violation de droit de libre circulation de citoyen conformément à l’article 30 de notre constitution. Les manifestations pacifiques de l’opposition de ce 20 mai violemment réprimées pourtant l’art 26 de notre constitution instaure le principe de la liberté de manifestations.La fermeture du média clm13 en toute intolérance dont le Dg Louis france kuzikesa, Journaliste fait objet des toutes sortes de menace à l’atteinte à son intégrité physique suite à ses opinions politiques ”.

Dans leur déclaration, Providence Lokuli Filimbi; Cedric Mimbwete Décideur; Josué bung sang lumumba; Leonel basila bofaya Archa; Joseph bontolo Mtc Guy misenge sy jedec; Daniel kitenge, appellent la population Congolaise à mobilisation et à l’éveil citoyen pour faire face à ce fléau de la dictature, et exhortent dans la foulée le régime en place de bien vouloir respecter les droits humains afin de faire preuve d’une culture démocratique à quelques mois des échéances électorales qui se veulent libres, crédibles, transparentes, et apaisées dans le délai constitutionnel pour préserver les acquis démocratiques.

Ils ont également dénoncé l’instrumentation de la justice faisant allusion sur le cas de l’opposant Jean Marc kabund dont le procès est loin d’être équitable.

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