POLITIQUE

RDC : « DANS SON SADISME MARADONIQUE Pourquoi BAHATI LUKWEBO Modeste s’agite-t-il ? », Par PRINCE KINANA, communicateur CRD

De plus en plus, il se fait remarquer, du côté de l’honorable BAHATI LUKWEBO Modeste, des difficultés, voire même des incapacités à s’adapter aux différentes situations d’apprentissage politique et à vivre des relations sociales harmonieuses et gratifiantes dans son environnement politique. Comme pour un élève du primaire ou du secondaire, notre célèbre ‘Maradona politique’ s’évertue à chercher à provoquer les autres, à mentir, à se surestimer comme à sous-estimer les autres. Bref, loin de toutes les valeurs que doit faire montre quelqu’un qu’on croit être une sommité scientifique. Naturellement et logiquement, son prénom devait influer sur sa personnalité, c’est plutôt le contraire de celui-ci qui n’est jamais mis en exergue dans son agir au quotidien.

En effet, par une sortie médiatique inopportune et ratée, l’honorable BAHATI LUKWEBO Modeste, s’est attaqué ouvertement et sans vergogne à son collègue membre du Présidium de l’Union Sacrée de la Nation, le Patriarche et sage de la République, l’Honorable Président du Bureau provisoire de l’Assemblée Nationale, MBOSO N’KODIA PWANGA Christophe, cet imperturbable digne fils du pays et serviteur du peuple.

Les différents acteurs des milieux politiques de notre pays peuvent témoigner de ce comportement inadéquat, souvent affiché par le ‘dribbleur national’ et qui contribue à perturber le bon climat qui règne au sein de l’Union Sacrée de la Nation sous la haute autorité du Chef de l’Etat. L’Honorable Modeste Bahati comme c’est de lui qu’il s’agit, est réputé être très agité, contestateur, provocateur des autres, déloyal jusqu’à remettre en question les instructions de la Haute Autorité de l’USN, le Chef de l’Etat ; faisant preuve de vulgarité dans ses interventions, il manque de respect, de ce fait, envers l’initiateur de l’USN et ses pairs membres du Présidium. La violence verbale et l’intimidation font partie du quotidien politique de notre homme et elles réfèrent à des comportements découlant d’une intention, réelle ou supposée, de blesser physiquement ou symboliquement l’autre. Avec un pareil comportement, l’opinion ne doit pas se permettre de ne réfléchir sur la situation sécuritaire de la partie Est de notre pays et les acteurs politiques qui en seraient impliqués directement ou indirectement.

La sortie médiatique de BAHATI LUKWEBO Modeste, ne cacherait-elle pas ce qui devait être révélé depuis longtemps sur la situation sécuritaire à l’Est du pays ? Nous pensons qu’il doit, lui aussi, quitter les groupes armés.
Cela ne peut être que de la délinquance politique, ignorer la quintessence de la réunion tenue avec ces jeunes parlementaires ; réunion qui fait valser le calculateur et dribbleur BAHATI Modeste.
C’est par pure haine et par jalousie, imbu de lui-même et ivre de pouvoir que, l’homme de Fizi patoune sur cette réunion avec les jeunes parlementaires, qui du reste ont droit à l’encadrement de leurs aînés et collègues Députés nationaux. C’est aussi une façon de révéler à la face de ceux-ci que, BAHATI LUKWEBO Modeste méconnaît cette organisation réunissant les jeunes parlementaires à l’hémicycle et s’en fout de leur avenir au sein de l’Assemblée Nationale.

C’est une preuve irréfutable qu’il n’a aucun respect pour personne, il n’y a que ses intérêts qui comptent. Pour lui, c’est la campagne pour le perchoir de l’Assemblée Nationale qui l’importe et avant même que ce sujet soit abordé au sein de l’USN ni ladite campagne ne soit lancée. MOTEMA MABE, MOTEMA LIKUNDU.

De son côté, fidèle à des valeurs tant morales que républicaines, le Patriarche MBOSO N’KODIA PWANGA Christophe, son silence fait trembler l’honorable Bahati Modeste. Comme dans ses habitudes, se référant à son éducation et par loyauté au Chef de l’Etat, l’honorable Président du Bureau provisoire de l’Assemblée Nationale, tient au respect du pouvoir discrétionnaire du Chef l’Etat, Haute Autorité de l’USN, dans le choix du Candidat Président de l’Assemblée Nationale au bureau définitif ; sans faire du bruit ou du chantage au Chef comme cela est remarqué dans le comportement de quelques-uns de membres du Présidium de l’USN, il préfère attendre et servir la République sans agitation, sans pingrerie.

PRINCE KINANA, COMMUNICATEUR DE LA CRD

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